Buenos Aires, Iguazú et Copacabana - Aventures latinos avec vos ados

Au programme - Balade autour du street-art, en privé. D’abord influencés dans les années 70-80 par la mode des graffitis née à New York, puis au début des années 2000 par l’art du pochoir né au Royaume Uni, les jeunes artistes de Buenos Aires ont développé au fil du temps de nombreuses autres formes d’expression de cet art, avec notamment le sticker art, le poster art, le woodblocking et d'autres formes d'installations de rue et graffitis inversés. Votre acolyte du jour échange sur la vie quotidienne en Argentine, tout en vous apprenant quelques phrases de lunfardo (sorte d'argot argentin), une manière aussi de mieux saisir l'humour et l'art de la dérision des Argentins. Il vous explique les techniques et les compétences fondamentales du graffiti, son histoire et son rapport au contexte actuel. Puis, place à la pratique à travers un atelier durant lequel on s'essaie à différentes techniques : le stencil qui consiste à reproduire des dessins de manière répétitive grâce à une sorte de pochoir, et le past-up, collage de papier coloré que l'on découpe et que l'on juxtapose. On déambule ensuite pour admirer quelques-unes des impressionnantes peintures murales de la capitale. On termine cette expérience par la découverte d’une galerie dédiée à la promotion, l’exposition et la vente d’art urbain où l'on partage un mate. Una balade décontractée qui laisse de la place à l'improvisation, en fonction des envies et affinités.

Au programme - Visite de Buenos Aires à vélo électrique, moyen idéal de parcourir la capitale argentine en long, en large et en travers. Accompagnés d'un guide, vous empruntez (sans trop d'efforts) l'itinéraire de votre choix, découvrant au fil de la balade l'architecture éclectique de la ville, ses quartiers pleins de personnalité et ses magnifiques parcs où aiment souffler les Porteños. On passera entre autres devant le cimetière de la Recoleta, le stade de la Bombonera, La Boca et son "Caminito", Puerto Madero ou encore la mythique Plaza de Mayo.
Également prévu, en soirée - Un dîner dans l'une des meilleures parrillas de la ville, logée au sein d'une maison en brique 1900, typique de Palermo Viejo – votre table est déjà réservée. On y sert de beaux morceaux de viande grillée au charbon de bois dans un cadre traditionnel : murs de bouteilles vides dédicacées par les clients, lustres, roues de charrette, serveurs en noir. L'occasion pour les parents de goûter aux vins argentins réputés, à choisir parmi des centaines de références.
En option - Soirée autour du tango et de la musique traditionnelle argentine.

Au programme - La visite du Palacio Barolo. Importation de machines à filer, culture de coton dans le Chaco, l’entrepreneur d’origine italienne Luis Barolo avait bousculé le textile argentin et fait fortune par la même occasion. En 1910, il commande à Mario Palanti un immeuble inspiré de la Divina Commedia. L’architecte italien s’exécute entre 1919 et 1923, livrant un building à l’éclectisme puissant, structuré comme le poème de Dante. Ce morceau de bravoure de 100 mètres de haut, surmonté d’un phare, distingue toujours aujourd’hui l’Avenida de Mayo. Un guide vous détaille tout cela avec passion.
Prévue, en soirée - La réservation d'une table perchée sur un rooftop du centre de la capitale. Au menu, pour toute la famille : vues sur le fleuve, skyline scintillante et saveurs argentines – arrosées, pour les parents, de cocktails bien frappés.
En option - Visite de Buenos Aires dans les pas d'un local ; des billets pour assister à un match de foot au pays de Maradona.

Transfert privé jusqu'à l'aéroport et vol pour Puerto Iguazú. Nouveau transfert et installation pour trois nuits au sein d'un élégant hôtel cerné par la végétation luxuriante de la jungle d'Iryapú. Les chambres, contemporaines, sont confortables. Le spa est là pour prolonger la détente du corps et de l'esprit. On est par ailleurs idéalement situé pour accéder rapidement aux fameuses cascades d'Iguazú. Celles-ci, à cheval entre l'Argentine et le Brésil, sont sans doute les plus spectaculaires chutes d'eau au monde. Des milliers de tonnes de litres d’eau qui se déversent chaque seconde dans un écho tonitruant avant de s’élever délicatement en nuages d’embruns. La plus célèbre d'entre elles a été baptisée Garganta del Diablo ou gorge du Diable ; elle atteint les 90 mètres de hauteur, ce qui en fait la plus haute chute du site... Pas de doute : Iguazú – les « grandes eaux » en indien guarani – méritent leur place au palmarès des merveilles naturelles mondiales.

Au programme - Les chutes d'Iguazú, côté argentin. Après un petit raid en camion tout-terrain dans le parc national (opération permettant en général de repérer quelques hôtes de ces bois : coatis roux et toucans probablement, tamanoirs ou sapajous éventuellement, tapirs peut-être), on descend vers la rivière où l’on embarque sur un zodiac. Rebondissant sur les rapides, le bateau emporte ses passagers au plus près de la cascade. L'occasion d'observer les martinets à tête grise qui, nichant derrière les rideaux d’eau, vont et viennent par leurs interstices. Une expérience inoubliable.

Au programme - Les chutes d'Iguaçu, côté brésilien – vous avez déjà vos billets en poche, ce qui vous permet d'explorer librement le parc national, ses sentiers et passerelles menant parfois presque sous les chutes. Douche tropicale assurée !
En option - Survol des chutes en hélicoptère.

Transfert privé à l’aéroport brésilien de Foz do Iguaçu et vol pour Rio. Nouveau transfert et installation pour quatre nuits dans un hôtel posé face à la mythique plage de Copacabana. Son style est des plus classiques, ce qui garantit élégance et sobriété. On retrouve dans les chambres des teintes naturelles et beaucoup de confort. Certaines offrent de superbes vues sur l'océan que l'on admire encore mieux depuis le toit-terrasse où trône une belle piscine. À proximité, les quartiers d'Ipanema et de Leblon vous tendent les bras.
La vie carioca, c’est donc là, tout de suite. La course à pied et le beach volley sur le sable. Les marchés, aussi, et les musées – dont le MAC (Museu de Arte Contemporanea). Le stade Maracanã et la cathédrale São Sebastião sont les deux temples où la dévotion des habitants de Rio s’exprime dans toute sa ferveur. Dans la journée, on se laisse tenter par le churrasco et les frites de manioc, miam ! On sirote un jus de fruits d'Amazonie dans la fraîcheur d'une arrière-cour de Leblon ; on trotte de haut en bas, vivant au rythme de l’une des villes les plus envoûtantes du monde.

Au programme - Découverte de Santa Teresa, en privé. C’est un quartier bohème, adossé à la colline. On y vient en tram, on ne traîne pas. Ceux qui vivent là, sont des privilégiés. « Santa » (pour les intimes) a plus d’une histoire à raconter. Au XVIIe siècle, la noblesse – européenne notamment – est prompte à s’établir sur les hauteurs. Les ambassades sortent de terre avant de déménager avec leurs occupants à Brasilia, lorsque la cité est promue capitale, en 1960. Vacant, le quartier est rapidement colonisé par les artistes de tous horizons. Encore aujourd’hui, ce je-ne-sais-quoi créatif emplit l’air, des ruelles pavées aux places ombragées. Arrêt de rigueur au musée Chacara do Ceu pour admirer les œuvres de Matisse, Picasso, Dalí ou Miró.
Également prévue - Une soirée dans une école de samba. Danse d’origine brésilienne mondialement connue, la samba est à l’honneur chaque année lors du célèbre carnaval de Rio. Cette soirée est l'occasion unique de participer à une authentique répétition dans l’une des écoles de samba les plus reconnues de la ville. Un moment au cours duquel les danseurs, passionnés, transmettent un peu de leurs connaissances et beaucoup de leur passion.

Au programme - Le mont du Pain de Sucre. À l’embouchure de la baie de Guanabara, le mythique Pão de Açúcar surgit depuis le bord de mer pour surplomber le paysage du haut de ses 396 mètres. On rejoint le sommet du monolithe par les airs, à bord des légendaires téléphériques. Le premier transporte les visiteurs jusqu’au Morro da Urca, à 220 mètres de hauteur, d’où l’on bénéficie d’une vue plongeante sur le littoral sinueux. Une seconde cabine parcourt le reste du chemin. Depuis la cime du colosse de granit, on observe le panorama comme une peinture : le bleu de la baie, le blond du sable, le vert des arbres.
En option - Rio by night, avec un guide privé.

Au programme - Le Corcovado et le Christ Rédempteur. Au sommet du mont Corcovado, l’immense statue du Christ (38 mètres, piédestal compris) est un symbole de la ville et, au-delà, du Brésil tout entier. Sa construction aura duré une dizaine d’années et mobilisé sculpteurs, architectes et ingénieurs à travers le monde. Inaugurée en 1931, à l’issue d’une semaine de liesse, c’est une prouesse de béton revêtue d’une mosaïque de stéatite, matériau aux couleurs inaltérables, résistant aux intempéries et changements de température les plus extrêmes. Une figure immortelle, en somme – quoi de plus approprié, pour l’une des sept merveilles du monde moderne ?
Également prévu, en soirée - Un dîner dans l'un des meilleurs restaurants de la ville, votre table est déjà réservée.