Transport en avion

L’Italie possède 96 aéroports et 38 aérodromes. La compagnie nationale ITA Airways propose de nombreux vols intérieurs, qui relient entre elles la plupart des grandes villes. Bien qu’assez onéreux, l’avion permet des gains de temps substantiels.

Transport en train

Les liaisons internationales sont très convenables. Les liaisons intérieures, à l’exception des trains rapides (qui desservent les grandes villes), lentes et peu ponctuelles.
 

Transport par la route

Conduite : à droite.

Limitation de vitesse : 50 km/h en ville ; 90 km/h sur route ; 130 km/h sur autoroute.

Alcoolémie tolérée au volant : 0,5 gramme par litre de sang (France : 0,5 gramme).

Le code de la route est européen standard. Obligation d’allumer les feux de croisement de jour comme de nuit. Les Italiens font un usage intensif du klaxon, c’est l’équivalent automobile de leur faconde. Dans les secteurs urbains, trouver la bonne direction demande de l’attention : les panneaux publicitaires sont envahissants et masquent sans vergogne la signalisation routière. Notons que les sites touristiques sont signalés par des panneaux à fond jaune.

La circulation automobile dans les agglomérations peut être interdite certains jours, lors des pics de pollution. Interdiction totale ou partielle. D’autre part, des mesures sont prises pour limiter l’accès aux villes des véhicules les plus polluants.

Dans les centres historiques, on sera attentif aux zone a traffico limitato, les zones à trafic limité (signalées par un cercle rouge sur un panneau blanc). Elles ne sont accessibles en voiture qu’aux riverains. En cas de verbalisation, l’amende peut être élevée.

Pour visiter les centres historiques, n’hésitez pas à louer un vélo. Les loueurs sont de plus en plus nombreux. Mais, attention au trafic ! La réputation d’imprévisibilité des conducteurs italiens n’est pas usurpée.

›› Notre sélection des plus belles routes d'Italie.

Transport en Taxi

Utiliser de préférence les sociétés de taxi identifiées (voitures blanches ou jaunes). Certains taxis n’ont pas de compteur, dans ce cas il faut impérativement fixer le prix de la course avant d’embarquer. Les chauffeurs de taxi se sont véhémentement opposés aux VTC, mais un accommodement semble en passe d’être trouvé avec, à la clé, un nouvel équilibre des services.

A noter à propos des bus : sur les réseaux urbains, on ne peut pas acheter de ticket à bord. On en trouve dans les kiosques à journaux, les bureaux de tabac et dans certains magasins, signalés par un pictogramme. Il existe aussi des distributeurs automatiques.